Notre boutique utilise des cookies pour améliorer l'expérience utilisateur et nous vous recommandons d'accepter leur utilisation pour profiter pleinement de votre navigation.
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
Gabriel Le Magadure Franck Braley Quatuor Agate
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
UTR5222
Nouveau
Ce produit n'est plus en stock
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité: 0000-00-00
3 Stages / Le Rex
Le RexDestinataire :
* Champs requis
OU Annuler
Label : | Unit Records |
EAN : | 7640222862227 |
Format : | 3 Vinyles LP |
Nombre du Support : | 3 |
Année édition : | 2025 |
Code Prix : | UVM116 |
Genre : | JAZZ |
Date de Sortie : | 20/06/2025 |
Compositeur/Artiste Principal : | Le Rex |
// EP1 : Up We Fall - Eswartini Road - Echoes 1 - Tell Them - Echoes 2 - Waste of Time // EP2 : Rex Royal - Constant Entertainment - Underwater Flow - Convention of the Ancestors // EP3 : Sweet inharmonicities - Relax It`s only Commodities, Darling! - This Escalated Quickly - Aperitivo Leggero
Le Rex : Benedikt Reising, sax alto / Marc Stucki, sax ténor / Andreas Tschopp, trombone / Marc Unternährer, tuba / Rico Baumann, batterie
Le groupe suisse est de retour avec des mélodies percutantes et des rythmes insolites, des bandes-son dignes d'un train fantôme et une musique d'ambiance pour quatre mariages et l'inauguration d'une concession automobile. Les esprits vifs doivent se donner des devoirs pour ne pas s'ennuyer, et LE REX ne fait pas exception.
Ils ont créé trois EP sous des auspices différents : une fois écrits et retravaillés avec éclat, une fois joués en live dans une pièce qui les a inspirés, une fois portés par le groove, sans thèmes ni mélodies. Mais ce ne sont là que le cadre, la structure – au final, ce que l'on entend, c'est de la musique. Et selon la porte que l'on ouvre, selon l'EP que l'on écoute, on découvre d'autres facettes de ces touche-à-tout suisses et on voyage ailleurs : les couchers de soleil d'Abdullah Ibrahim sur Le Cap, les carrefours orchestrés par Henry Mancini dans La Soif du mal d'Orson Welles, le Detroit de J Dilla, le Berlin de Kurt Weill.
Selon l'endroit où l'on se trouve, on perçoit la fièvre ou l'éveil, l'espoir ou la destruction. C'est ainsi que la musique devrait être : pas un vœu à exaucer, pas un menu en trois plats, mais une boîte dont surgit chaque jour quelque chose de nouveau et de surprenant.