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Variations Viennoises / Roberte Mamou

ARS38315

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Roberte Mamou

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13,33 €

Fiche technique

Label :Ars Produktion
EAN :4260052383155
Format :SACD hybrid
Nombre du Support :1
Année édition :2021
Code Prix :UVM002
Genre :CLASSIQUE
Date de Sortie :21/01/2022
Compositeur/Artiste Principal :Beethoven / Haydn / Czerny / Hummel / Schubert / Mozart

En savoir plus

Ludwig van Beethoven : Six variations en sol Maj sur « Nel cor più non mi sento », WoO 70 - Joseph Haydn : Variations en fa min « Un Piccolo Divertimento » Hob. XVII:6 - Carl Czerny : Variations sur un thème de Rode “La Ricordanza” Op.33 - Johann Nepomuk Hummel : Variations sur un thème de Armide de Gluck Op.57 - Franz Schubert : Impromptu en si b Maj D.935 n°3 - Wolfgang Amadeus Mozart : Variations sur un menuet de Duport K.573

Roberte Mamou, piano

« Ce CD concept au titre simple « Variations viennoises » est un sac surprise : Au début, vous pensez : Une autre collection de titres pour les amoureux. Mais alors on est de plus en plus émerveillé par la richesse des œuvres et la joie de découvrir de Roberte Mamou, cette pianiste née et élevée en Tunisie, mais socialisée musicalement en Belgique. Roberte Mamou a réuni ici six variations pour piano de Vienne de 1789 à 1827, où l'auditeur peut approfondir le familier et découvrir l'inconnu.
Chaque variation avec son propre poids ...
La pianiste donne à chaque variation son poids, elle joue les variations de Beethoven sur un thème de Molinara de Paisiello avec grandeur et délicatesse subtile à la fois comme une grande dame du piano, fougueuse, vive et passionnante et surtout la variation mineure très colorée .
Avec un grand sens de la dramaturgie, elle interprète les Variations Duport de Mozart, « les plus réussies et les plus variées de la plume de Mozart » (Christoph Rueger), ludiques et pourtant sérieuses, inspirées et pourtant dans une simplicité artistique et plus que gracieuse.
Avec un sourire charmeur …
Presque comme avec un sourire charmeur, Roberte Mamou présente les variations imaginatives et surprenantes sur un thème d'Armide von Gluck de Johann Nepomuk Hummel. Dans le Scherzando, elle augmente la danse à la fougueuse plaisanterie, de sorte que cette musique sonne comme une séquence constante de sauts périlleux, la Variation VIII est d'une virtuosité exubérante, même si elle pourrait être jouée encore plus exubérante, le pianiste reste un peu trop discret. Elle est à nouveau complètement dans son élément dans l'Adagio espressivo de la Variation IX qui, comme le dit le livret extraordinairement intelligent (Claus-Dieter Hanauer), est « une prémonition de la musique de Schubert ».
La Variation V brillamment précipitée des Variations sur un thème de Rode de Carl Czerny pourrait être encore plus brillante. Mais la joie que Roberte Mamou a dans cette musique charmante et agréable, dans la troisième Variation I étincelante, dans la Variation II qui domine la valse, dans la Variation III richement ornée ou la Variation IV élégiaquement sobre est immédiatement communiquée : la meilleure musique de salon.
Plein d'émotions et de passion urgente
Les variations de Haydn et de Schubert ont le plus grand effet réverbérant sur le critique. Haydn a donné à ses Variations en fa mineur le titre « Un piccolo Divertimento » : elles ne sont ni « piccolo », signifiant petites et insignifiantes, ni « divertimento », signifiant distrayant et divertissant. Ils sont beaucoup plus lourds, beaucoup plus profonds et plus sensibles. Roberte Mamou épuise la plénitude des émotions dans chaque variation, restant toujours claire et transparente dans le jeu, que le thème d'une variation semble être presque impressionniste atomisé par des trilles ou que les thèmes de la coda surgissent d'eux-mêmes. à nouveau dans l'énergie gagner puis sombrer dans la tristesse après des accords d'accords tragiquement dissonants : grand art de l'interprétation !
D'autant plus avec l'Impromptu en si bémol majeur de Schubert, D 935 n°3 : Roberte Mamou débute doucement, en retardant doucement, en se prélassant dans les accords pleins pour ainsi dire. Dans la variation en si mineur, elle parvient à un équilibre entre enjouement rêveur et passion pressante, son jeu évoque l'abondance de tout un orchestre – un pur CD de Schubert d'elle serait souhaitable.
L'enregistrement est cependant un peu trop direct pour le critique : il ne veut pas s'asseoir dans le piano à queue, mais plutôt devant. » Rainer W. Janka | Klassik-Heute.com