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Hadouk / Didier Malherbe / Loy Ehrlich
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
MAG63
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Luguet, Ernest : Musique pour piano
Pascal GalletDestinataire :
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Label : | Maguelone |
EAN : | 3770003584636 |
Format : | CD |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2024 |
Code Prix : | UVM010 |
Genre : | CLASSIQUE |
Date de Sortie : | 26/07/2024 |
Compositeur/Artiste Principal : | Ernest Luguet |
Ernest Luguet (1897-1985) : Pas Eau, Mi-Longue, Marche Funèbre, Le Tombeau de Poignant, Moderato, Charnelles n°1, Charnelles n°2, Pascales, Valse (n°9 des ‘Petites Heures'), Danses des Gnômes, 5 Petites pièces pour piano, Souvenirs radiophoniques d'Ernest Luguet
Pascal Gallet, piano
Né à Saint-Pierre-de-Curtille en 1897 dans une famille paysanne, Ernest Luguet découvre la musique classique à l'âge de 4 ans, un soir de Noël, à la faveur d'un Te Deum joué sur le vieil harmonium de l'église de ce petit village du Bugey savoyard. Dès son enfance, la composition musicale le hantait déjà.
"J'ai cherché... J'ai cherché... Et puis la vérité m'est apparue en écoutant une vieille cloche de montagne... Alors, j'ai compris... Et depuis..." E.Luguet, 1938
A l'âge de 12 ans, il compose une mélodie mélancolique dédiée à son frère aîné Valentin, alors frappé par une virulente maladie. Réécrite en 1918, suite à la mort de Valentin au combat en Albanie, cette œuvre de jeunesse deviendra la Marche Funèbre.
C'est dans les années 1930 qu'Ernest Luguet entreprendra de solides études musicales au sein de l'École Normale de Musique de Paris (Alfred Cortot), suivant notamment les cours de Nadia Boulanger. S'en suivront les deux décennies les plus prolifiques de sa carrière, au cours desquelles il côtoiera quelques-uns des chefs d'orchestre les plus réputés de son temps, à l'instar d'André Cluytens et Serge Koussevitzky, et fera jouer ses grandes oeuvres à la Radiodiffusion Nationale, à l'Opéra de Lyon ou encore à la salle Chopin-Pleyel à Paris.
Toute sa vie durant, son œuvre fut inspirée par les bucoliques scènes champêtres de sa Savoie natale, qu'il refusa toujours de quitter, manquant sans doute de grandes opportunités de carrière. C'est dans son « ermitage » du Château de Pomboz qu'il s'éteint, à l'aube de ses 88 ans et sans héritier. Longtemps vouées à sombrer dans l'oubli, ses partitions - sauvegardées par la chorale La Pierre qui Chante - sont redécouvertes en 2022 par le pianiste Pascal Gallet.