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Emma Black / Zoe Black / Anne Harvey-Nagl / Peter Trefflinger
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
PDD026
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Beethoven : Sonates pour violon et piano / Gérard Poulet & Jean-Claude Vanden Eynden
Gérard Poulet / Jean-Claude Vanden EyndenDestinataire :
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Label : | Le Palais des Dégustateurs |
EAN : | 3760011350262 |
Format : | CD |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2022 |
Code Prix : | UVM005 |
Genre : | CLASSIQUE |
Date de Sortie : | 22/04/2022 |
Compositeur/Artiste Principal : | Beethoven |
Ludwig van Beethoven (1770-1827) : Sonate pour violon et piano n°3, Sonate pour violon et piano n°5 “Le Printemps”, Sonate pour violon et piano n°7
Gérard Poulet, violon / Jean-Claude Vanden Eynden, piano
Les premières phrases de la Sonate pour piano et violon en mi bémol majeur déroutent par leur énergie et leur audace. En hâte, vérifions la date de composition : 1797-1798. Le classicisme flamboyant ! Flamboyant, assurément avec ces traits battus en tous sens, soumis à la rivalité percussive et tendue entre le clavier et l'archet (n'oublions pas que Beethoven fut le le pianiste et improvisateur de génie que l'on sait, mais aussi un remarquable violoniste et altiste). Quel fierté, assurément, pour les violonistes qui bataillent ainsi dans l'univers du musicien qui n'a pas encore composé sa Première Symphonie (1799-1800) et a tout juste reçu les exemplaires imprimés de sa Sonate pour piano seul en mi bémol majeur, la quatrième. Fierté plus grande encore des violonistes qui rappellent non sans malice que Beethoven acheva huit de ses dix sonates pour violon pour piano en 1802. Un Beethoven encore bien jeune, pas assez “mûr”, avez-vous dit ? Que vous faut-il de plus, que ces “gifles” de l'opus 12 qui réunit trois sonates dédiées à Antonio Salieri ? En honorant le Maître de chapelle de la cour de Vienne, et en se plaçant sous sa protection, Beethoven fait preuve d'un opportunisme qui prête à sourire. Il désamorce déjà les critiques, poussant l'hypocrisie jusqu'à faire imprimer le titre de l'édition originale en italien ! (Extrait du livret - Stéphane Friédérich)