Notre boutique utilise des cookies pour améliorer l'expérience utilisateur et nous vous recommandons d'accepter leur utilisation pour profiter pleinement de votre navigation.
Eric Séva / Christophe Giovaninetti / Olivier Ker Ourio / Kevin...
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
Gabriel Le Magadure Franck Braley Quatuor Agate
Hadouk / Didier Malherbe / Loy Ehrlich
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Philippe Bianconi / Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo / Michal...
ALC0141
Nouveau
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité: 0000-00-00
Schoeck - Lauber : La flûte suisse romantique
Tommaso Maria Maggiolini / Nicolas MottiniDestinataire :
* Champs requis
OU Annuler
Label : | Aulicus Classics |
EAN : | 8721093743972 |
Format : | CD |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2025 |
Code Prix : | UVM002 |
Genre : | CLASSIQUE |
Date de Sortie : | 24/10/2025 |
Compositeur/Artiste Principal : | Schoeck / Lauber |
Othmar Schoeck (1866-1957) : Sonate en ré Maj Op.16 pour flûte et piano, Albumblatt WoO70 pour flûte et piano - Joseph Lauber (1864-1952) : Tanz-Suite im alten Stil Op.48 (Suite de danses dans le style ancien Op.48), Partita Op.51 pour flûte solo, Grande Sonate Op.53 pour flûte et piano
Tommaso Maria Maggiolini, flûte / Nicolas Mottini, piano
Cet enregistrement met en lumière le répertoire pour flûte de la fin du romantisme à travers deux compositeurs suisses : Joseph Lauber (1864–1952) et Othmar Schoeck (1886–1957).
Formé entre Zurich, Munich et Paris, Lauber marie influences romantiques allemandes et impressionnisme français. Ami du flûtiste Paul Hagemann, il lui dédie plusieurs œuvres : la Suite de danses dans le style ancien (env. 1930), inspirée des formes baroques, la Partita op. 51 (1949), hommage à Bach pour flûte seule, et la Grande Sonate op. 53 (1937), sommet de sa musique de chambre, alliant lyrisme, richesse harmonique et virtuosité.
Schoeck, élève de Max Reger et figure majeure de la vie musicale zurichoise, reste surtout connu pour ses opéras et ses mélodies. Sa Sonate op. 16 (1908/09), écrite pour la violoniste Stefi Geyer et ici interprétée à la flûte, révèle un romantisme expressif marqué par Bach. L'Albumblatt WoO 70 (1908), bref et intime, complète ce portrait.
Deux univers différents, mais un même raffinement : la profondeur expressive et la virtuosité technique au service de la flûte.