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Larissa Wäspy / Roswitha Sicca / Thomas Pfeiffer / Martin Nagy
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
Gabriel Le Magadure Franck Braley Quatuor Agate
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
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The Summer Knows (un été 42) / Franck Amsallem
Franck AmsallemDestinataire :
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Label : | Continuo Jazz |
EAN : | 3770000059052 |
Format : | CD |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2025 |
Code Prix : | UVM062 |
Genre : | JAZZ |
Date de Sortie : | 23/05/2025 |
Compositeur/Artiste Principal : | Franck Amsallem |
Blue Gardenia (L.Lee, B.Russell) - La Chanson d'Helene (P.Sarde, J.L.Dabadie) - Unforcettable (I.Gordon) - You Won't Forget Me (K.Goell, F.Spielman) - The Summer Knows (un été 12) (M.Legrand, M.& A.Bergman) - Agrigento (F.Amsallem) - Cotton Trails (F.Amsallem) - It Never Was You (K.Weill, M.Anderson) - Morning Star (R.Grant) - Disclosure (F.Amsallem)
Franck Amsallem, piano / David Wong, basse / Kush Abadey, batterie
Retour aux fondamentaux pour Franck Amsallem avec The Summer Knows, son onzième album qui, après son tout premier enregistrement Out a Day avec le contrebassiste Gary Peacock et le batteur Bill Stewart en 1990, et Summer Times avec Johannes Weidenmuller et Joe Chambers en 2003, renoue avec cette formule magique du trio isocèle. C'est la toute première fois qu'il joue, enregistre avec ces deux jeunes musiciens new-yorkais souvent associés à la chanteuse Cecile McLorin Salvant : David Wong, bassiste économe et juste à la musicalité ondoyante, et Kush Abadey, batteur présent, puissant et délicat. Ce disque a été enregistré “à l'ancienne” en un seul jour à New York, dans le Queens, au studio Samuraï, son répertoire célèbre les cover tunes, des thèmes éternels puisés dans la mémoire babélienne des standards et de deux musiques de film aux mélodies françaises raffinées (« Un été 42 » de Michel Legrand et « La chanson d'Hélène » de Philippe Sarde) qui sont revisités/réinventés in situ. Il y a principalement des premières prises. Ici la technique ne dessert pas la musique. Pas de cabine qui isole le batteur et entrave le jeu collectif du trio. Pas de casques à ajuster, juste une balance fragile à établir. Les trois musiciens sont ensemble, très ensemble. Interplay primordial, essentiel, cet état d'osmose collectif qui relie les esprits et les gestes. Relation immédiate, organique à la musique. Fraîcheur de l'instant. Mélodies tour à tour suaves à la mélancolie prégnante et toniques. Improvisations vagabondes sur le fil du hasard sous contrôle. Interplay pénétrant. Densités et intensités des sons. Beautés brûlantes et brillantes. Franck Médion