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Vieuxtemps, Henri : Les trois quatuors à cordes / Quatuor Élysée

CC7777232

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Quatuor Élysée

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13,33 €

Fiche technique

Label :Continuo Classics
EAN :3770000059236
Format :2 CD
Nombre du Support :2
Année édition :2021
Code Prix :UVM002
Genre :CLASSIQUE
Date de Sortie :19/11/2021
Compositeur/Artiste Principal :Vieuxtemps

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Henri Vieuxtemps (1820-1881) : Quatuor à cordes n°1 en Mi mineur Op.44, Quatuor à cordes n°2 en Ut Majeur Op.51, Quatuor à cordes n°3 en Si bémol Majeur Op.52

Quatuor Élysée : Justina Zajančauskaitė, violon / Eun Joo Lee, violon / Andreï Malakhov, alto / Igor Kiritchenko, violoncelle

Les quatuors de Vieuxtemps ! Ce petit coup de projecteur sur l'une des facettes du célèbre virtuose du XIXe à l'occasion de son jubilé est une aubaine. Car avant d'être soliste, le jeune Henry tenait dès l'âge de 4 ans sa partie de violon dans un quatuor dominical.
"Son généreux mécène, M. Génin, avait repéré le bambin dans l'atelier de lutherie de son père. Cet atelier était l'unique pièce à vivre de cette modeste famille de Verviers. La maman, pour tenir propre son maigre domaine, avait pour habitude de calmer les cris de son enfant en mettant un tout petit violon et un archet dans son berceau. Malgré la taille inappropriée de l'archet, le très jeune Henry recherchait par tous les moyens des sons harmonieux, comme ceux qui sortaient du violon de son père. Puis tout s'est enchaîné. M. Génin, émerveillé devant les prodiges d'Henry, mit sa fortune au service de cette modeste famille. Une bien jolie providence. M. Lecloux vint donner des cours quotidiens au jeune violoniste et très vite l'école de Rode, Kreuzer et Fiorillo remplaçait les danses et contredanses du répertoire paternel. Henry avait alors 4 ans. Tous les jours après le repas, M. Génin venait jouer des duos de Pleyel et de Viotti avec son petit protégé. Et pour parfaire ce petit cocon musical, la famille Vieuxtemps se rendait tous les dimanches chez le généreux protecteur où l'on jouait des quatuors de Pleyel. Henry était au premier violon, M. Génin au second violon et le père d'Henry tenait le violoncelle. L'alto trônait à côté d'eux sur une chaise, mais… il manquait l'altiste.
« Alors nous jouions des quatuors à trois » nous dit Henry dans son autobiographie. Ses oreilles s'émerveillaient devant les célestes harmonies de cet ensemble précaire. « Je cherchais déjà à retenir ces accords qui me torturaient de bonheur … »

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