Ostinata - Oeuvres pour violon solo / Charlotte Saluste-Bridoux

Heinrich Ignaz Franz Biber (1644-1704) : Passacaglia en sol min pour violon seul “Ange Gardien” - Béla Bartók (1881-1945) : Sonate pour violon solo BB 124 Sz. 117 - Serge Prokofiev (1891-1953) : Sonate en ré Maj pour violon solo Op.115 - Eugène Ysaÿe (1858-1931) : Sonate pour violon solo en mi min Op.27 n°4 - Grazyna Bacewicz (1909-1969) : Sonate n°2 pour violon solo

Charlotte Saluste-Bridoux, violon

Londonienne d'origine française, Charlotte Saluste-Bridoux est une violoniste éclectique, passionnée aussi bien par le répertoire solo que par le répertoire de chambre. Ayant commencé son parcours à Montpellier avant d'être admise à la Yehudi Menuhin School dans la classe de Natalia Boyarsky, elle étudie aujourd'hui en Master au Royal College of Music de Londres avec Alina Ibragimova.
Charlotte a participé à de nombreuses master-classes avec des professeurs de renommée internationale tels qu'Ana Chumachenco, Zakhar Bron, Pavel Vernikov, Maxim Vengerov et András Keller. Chambriste passionnée, elle a pris part à beaucoup de festivals de musique de chambre parmi lesquels l'Open Chamber Music Seminar à Cornwall, Santander Encuentro Festival, East Neuk Chamber music Retreat, les festivals Musethica à Saragosse et à Berlin, le Festival d'Évian et le Stift Festival aux Pays-Bas. En parallèle, Charlotte est le 1er violon du Quatuor Confluence, actuellement en résidence à la Fondation Singer-Polignac à Paris.
Dernièrement, Charlotte a pu se produire au Wigmore Hall, au sein des BBC Proms avec l'ensemble 12, ou encore au Festival de Gstaadt aux côtés de Alina Ibragimova, Lawrence Power, Sol Gabetta et Bertrand Chamayou. Charlotte explore sans cesse un répertoire aussi vaste que possible, incluant des pièces peu connues à son répertoire comme le Concerto de Joachim ou la Sérénade de Bernstein qu'elle a jouée aux côtés du BCO de Budapest. Son premier album, enregistré aux Champs Hill Records en 2020, se concentre sur des œuvres pour violon seul. Charlotte joue actuellement un violon de Nicolo Amati, généreusement prêté par la Fondation Boubo-music. © DR