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Silvestri, Constantin : Intégrale de l'Oeuvre pour piano

PH20028

Nouveau

19,16 €

Fiche technique

Label :Profil
EAN :0881488200287
Format :2 CD
Nombre du Support :2
Année édition :2020
Code Prix :UVM075
Genre :CLASSIQUE
Date de Sortie :26/02/2021
Compositeur/Artiste Principal :Silvestri

En savoir plus

Constantin Silvestri (1913-1969) : Oeuvres pour piano - Intégrale : Suites « Jeux d'enfants » op.3 n°1 et n°2 , Sonatine op.3 n°3, Danses populaires roumaines de Transylvanie Op.4, Suite n° 3 op. 6 n° 1 ; Sonata breve a due voci op. 13 n° 2, Sonata quasi una fantasia op. 19 n° 2 ; Pièces de concert op. 25 ; Chants nostalgiques op. 27, Sonate-Rhapsodie en trois épisodes op. 28 n° 1. György Kurtag (1926-*) : Deux Pièces pour piano - Georges Enesco / Enescu (1881-1955) : Concerto pour piano (Inachevé) : 1er mouvement.

Luiza Borac, piano

“ (...) De cet ensemble de 145 minutes qui forme l'intégrale de l'œuvre pour piano de Silvestri, Luzia Borac donne une vision claire et précise, d'une maîtrise chaleureuse et engagée qui met bien en évidence des qualités souvent proches de l'improvisation. Le parcours ainsi proposé est séduisant, révèle une personnalité sensible et vient avec opportunité préciser le portrait du musicien de grand talent qu'a été Constantin Silvestri.
Cet album est complété par des pages de György Kurtag et de Georges Enescu. Le lien du premier avec Silvestri apparaît flou, même si dans ces deux très brèves pièces récentes (2010 et 2017), on découvre un « In memoriam » dédié au musicologue Laszlo Ferenc (1937-2010) qui a effectué des travaux académiques sur Bartok, Enescu et Kurtag, et un rappel d'un Noël transylvanien écrit à l'occasion du 90e anniversaire de Marta, l'épouse pianiste de Kurtag. Ces pièces font aussi ici l'objet d'une première discographique. Quant au concerto pour piano inachevé d'Enescu avec lequel, nous l'avons dit, Silvestri avait eu des liens cordiaux, il date de 1897, alors qu'âgé de seize ans, Enescu étudie à Vienne. Dans la grande ligne romantique, à la manière de Brahms ou de Rachmaninov, le compositeur emprunte un thème au Dies Irae auquel il donne une impulsion qui s'inspire à la fois du folklore roumain et de la musique tzigane. La fougue est présente, les mélodies sont éloquentes. Luiza Borac les traduit avec un irrésistible sens de l'élan. Il s'agit ici d'un enregistrement en public (date non précisée) avec l'Orchestre National de la Radio roumaine placé sous la direction de Rossen Gergov. Ce bel apport à la discographie d'Enescu, première en CD, risque malheureusement de passer inaperçu dans cet album consacré presque totalement à Silvestri dont il démontre, grâce au talent de Luiza Borac, que la musique est à prendre en considération.” Jean Lacroix pour www.crescendo-magazine.be