Corellimania

Arcangelo Corelli (1653-1713) : Sonate d'église en si min Op.3 n°4, Sonate Op.5 n°12 en sol min ‘La Follia', pour flûte à bec et basse continue - Jean-Sébastien Bach (1685-1750) : Fugue sur un thème d'Arcangelo Corelli, Duos pour flûte à bec et viole de gambe BWV 802, 803, 804, 805, Von Gott will ich nicht lassen en fa mineur BWV 658 - Georg Friedrich Haendel (1685-1750) : Sonate en ré mineur, pour flûte à bec et basse continue HWV 367, Suite de pièces en si bémol majeur HWV 434 - Georg Philipp Telemann (1681-1767) : Sonate Corellisante n°2 en la Maj

Michala Petri, flûte à bec / Hille Perl, viole de gambe / Mahan Esfahani, clavecin

Pour cette exploration de l'engouement pour Corelli au XVIIIe siècle, le dynamique trio vedette composé de Mahan Esfahani, Hille Perl et Michala Petri s'unit pour retracer l'influence du Romain (parfois de nom seulement...) sur les héritages musicaux de Bach, Händel et Telemann, et bien sûr deux œuvres de la plume du célèbre maître italien, lui-même.

Gramophone à propos de l'enregistrement du Trio Petri/Perl/Esfahani sur Bach : "Alors que la gamme tonale et expressive de la flûte à bec, de la viole et du clavecin peut sembler limitée par rapport, disons, à la flute, au violoncelle et au piano, entre les mains d'interprètes de premier plan tels que ceux-ci, même une œuvre relativement légère comme la Sonate en do majeur, BWV1033, apparaît comme la démonstration idéale d'une facette particulière du style du compositeur et des capacités des interprètes."