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Larissa Wäspy / Roswitha Sicca / Thomas Pfeiffer / Martin Nagy
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
Gabriel Le Magadure Franck Braley Quatuor Agate
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
ALC0130
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Monteverdi : Dal mio Permesso amato, Su le penne dei venti, Lamento di Olimpia - Volume 2
Ensemble Concerto / Roberto GiniDestinataire :
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Label : | Aulicus Classics |
EAN : | 8721093743842 |
Format : | CD |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2024 |
Code Prix : | UVM002 |
Genre : | CLASSIQUE |
Date de Sortie : | 23/05/2025 |
Compositeur/Artiste Principal : | Claudio Monteverdi |
Claudio Monteverdi (1567-1643) : Toccata e Prologo La Musica Dal mio Permesso amato, Udite lagrimosi spirti d'Averno, Prologo Favor Divino Su le penne de venti, Maledetto sia l'aspetto, Quel sguardo sdegnosetto, Eri già tutta mia, Ecco di dolci raggi, Et è pur dunque vero , Lamento di Olimpia, Perché se m'odiavi, Più lieto il guardo - Johannes Hieronymus Kapsberger (1580-1651) : 4ème Prélude, 12ème Prélude, 1er Prélude, Huitième Prélude
Ensemble Concerto : Roberto Gini, clavecin & direction / Antonella Gianese, soprano / Vincenzo Di Donato, ténor / Massimo Percivaldi, violon / Ugo Nastrucci, théorbe et guitare / Massimo Marchese, théorbe / Marco Angilella, violon
Les paroles prononcées par la Musique à Mantoue le 22 février 1607, dans le prologue de L'Orfeo, favola in musica de Claudio Monteverdi, constituent le manifeste programmatique de la musica moderna.
Dans les cinq strophes écrites par Alessandro Striggio le Jeune, Monteverdi affirme une seconda pratica nouvelle et révolutionnaire, déclenchée par l'expérience florentine du dernier quart du siècle précédent et par les deux versions d'Euridice (l'une de Iacopo Peri, l'autre de Giulio Caccini) datant de 1600.
L'auteur décrit le pouvoir évocateur de deux genres musicaux :
Le profane (Cetera d'oro – Cithare d'or), incarné par le clavecin, instrument propre à la musique de chambre,
Le sacré (Lira del Ciel – Lyre céleste), incarné par l'orgue, symbole et voix de la musique d'église,
— réunis en une source unique et séductrice.
L'un nous attire vers les états affectifs humains les plus authentiques et extrêmes (sensualité et mort, amour et guerre), l'autre élève nos cœurs vers des réalités spirituelles célestes, évoquées à travers les artifices de la vérité qui caractérisent la musique profane.