Notre boutique utilise des cookies pour améliorer l'expérience utilisateur et nous vous recommandons d'accepter leur utilisation pour profiter pleinement de votre navigation.
Jonathan Darlington, direction / Orchestre Philharmonique de Duisbourg
András Adorján, flûte / Tove Lønskov, piano / Gabriel Adorján, piano
Cyril Dupuy, cymbalum / Aurélie Bouchard, harpe / Ensemble Les Temps...
Philippe Bianconi / Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo / Michal...
Florent Jodelet, percussion / Marie-Josèphe Jude, piano / Ensemble FA /...
DRC5039
Nouveau
Sylviane Deferne, piano
Attention : dernières pièces disponibles !
Date de disponibilité: 0000-00-00
Albeniz / Soler : El Duende
Sylviane Deferne, piano
Destinataire :
* Champs requis
OU Annuler
Label : | DORON |
EAN : | 7619924750392 |
Format : | CD |
Nombre du Support : | 1 |
Année édition : | 2013 |
Code Prix : | UVM006 |
Genre : | CLASSIQUE |
Date de Sortie : | 27/10/14 |
Compositeur/Artiste Principal : | Soler / Albeniz |
Isaac Albeniz (1860-1909) : La Vega, Azulejos (complété par Jean-Philippe Bauermeister), Quatre mélodies sur des paroles de Francis Coutts (Première mondiale, transcription par Jean-Philippe Bauermeister), Navarra (complété par Jean-Philippe Bauermeister) - Antonio Soler (1729-1783) : Sonate n°20 en do # min, Sonate n°34 en mi Maj, Sonate n°88 en ré b Maj.
La musique du dernier Albéniz est rare, deux raisons à cela: il est mort jeune à l'âge de 49 ans et il a passé une grande partie de son temps à écrire des opéras (Henry Clifford, Merlin et Lancelot, ce dernier inachevé) sur des textes anglais de Francis Coutts, généreux mécène, sans doute, mais piètre librettiste. Or, à côté des fameux cahiers d'Iberia, on trouve encore quelques pièces éparses de la même hauteur d'inspiration: Azulejos, Navarra et La Vega. Enfin, Albéniz laisse encore un recueil de quatre mélodies, toujours sur des textes de Francs Coutts.Le projet de ce disque est de rendre vivantes ces pièces rarement jouées et comme la musique des mélodies est de la meilleure veine du compositeur, il a été décidé d'en faire une adaptation pour piano. Comme il restait encore un peu de place, le choix s'est porté sur le Padre Soler, autre catalan, dont la musique ne devait pas être inconnue d'Albéniz et dont l'inspiration a une vibration espagnole, comme chez Scarlatti. Sylviane Deferne s'est totalement engagée dans ce projet pour lequel elle a dépensé toute son énergie et son remarquable talent qui mettent singulièrement en valeur cette admirable musique .