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Luthersche Leidensmusik (Musique Luthérienne de la Souffrance)

SAND0005

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Choeur de la Chapelle St Salvator / Tom Wilkinson, direction / The Kellie Consort : Richard Gwilt, violon et direction / Kirsty Main, violon / Aileen Walsh, alton / Karolina Chojnacka, alto / Marina Sánchez Cabello, violoncelle / Tadhg Sauvey, violoncelle / Sean Heath, orgue

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12,50 €

Fiche technique

Label :SANCTIANDREE
EAN :0850869006183
Format :CD
Nombre du Support :1
Année édition :2017
Code Prix :UVM010
Genre :CLASSIQUE
Date de Sortie :17/11/2017
Compositeur/Artiste Principal :Bruhns / Buxtehude / Kotter / Resinarius / Scheidemann

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Nicolaus Bruhns (1665-1697) : De profundis clamavi, Hemmt eure Tränenflut - Michael Praetorius (1571-1621) : Choralfantasia (Ein feste Burg ist unser Gott) - Hans Kotter (1485-1541) : Aus Tiefer Not - Dietrich Buxtehude (1637-1707) : Membra Jesu nostri, BuxWV75 (Cantata I, Ad pedes)- Baltasar Resinarius (1486-1544) : Es spricht der Unweisen Mund wohl (Premier Mouvement) - Heinrich Scheidemann (1595-1672) : Es spricht der Unweisen Mund wohl - Heinrich Schütz (1585-1672) : Aus Der Tiefe Ruf Ich, Herr, Kyrie Gott Vater In Ewigkeit - Johann Walter (1496-1570) : Aus tiefer Not schrei ich zu dir - Anonymes : Aus Tiefer Not

Selon Martin Luther, seule la théologie était supérieure à la musique. Il était conscient de l'immense pouvoir de la musique : elle était pour lui à la fois un sublime instrument de culte et un puissant outil de propagande. Cependant, l'enthousiasme démontré par les compositeurs luthériens des XVIème et XVIIème siècles a sans doute dépassé les attentes mêmes de Luther. Un sens de l'urgence communicative réunit tous les compositeurs rassemblés sur ce disque, de Johann Walter, associé de Luther, aux maîtres de la fin du XVIIème siècle que sont Dietrich Buxtehude et son élève Nicolaus Bruhns. Le développement de la virtuosité vocale et instrumentale durant cette période, parallèlement à celui du pouvoir expressif, représente un véritable trésor pour les amateurs de musique. Nulle part n'est-ce plus évident que dans la musique luthérienne pour le Carême, la Passion et les Pâques. La centralité de la crucifixion du Christ dans la théologie de Luther est palpable dans cette musique, qui transporte l'interprète et luditeur du fond du désespoir à la joie passionnée. Tom Wilkinson